mardi 4 novembre 2008

Le voyage en Italie : dans les loges



- comment çà un fantôme, questionna Floé. Que s'est-il passé? Racontez-nous.
- et bien voilà : il y a cinq ansn une troupe s'est installée au théâtre pour jouer" Les trois Mousquetaires ". Il devait y avoir un spectacle tous les soirs. Tout s'est bien déroulé les trois premiers mois et la pièce commençait à avoir un énorme succès.
Mais un beau jour tout a commencé. Le soir, après chaque représentation, un costume disparaissait. Au début, personne ne comprenait, on pensait que les comédiens ne savaient plus où ils rangeaient leurs affaires et on n'arrêtait pas de les disputer. Alors on remplaçait chaque soir suivant le costume manquant par un de la boutique. Mais nos stocks se sont vite épuisés et il a fallu arrêter la pièce. Pendant une semaine durant, tout le monde s'est mis à la recherche de ces costumes. Mais en vain, ils avaient bien disparu alors qu'il n'y avait q'une sortie de loges des comédiens et que et que l'on s'appercevait de la disparition de la disparition des tandis que toute l'équipe était était encore là et personne n'était entré ou sorti du théâtre. En plus, comme il n'y avait qu'une entrée, les comédiens, les maquilleuses, accessoiristes et autre de l'équipe, auraient vu un étranger entrer et voler un costume, dit Barnabé qui suivait les faits avec attention.
- Evidemment! répondit la vieille dame. C'est pourquoi même si nous ne voulions pas le croire au début, on a été obligé d'accepter l'existence d'un fantôme. Depuis que le mot fantôme a été prononcé, personne n'a plus jamais remis les pieds au théâtre. Il est maintenant laissé à l'abandon. C'est dommage, il était tellement joli ce théâtre.On appercevait sur le visage e la vieille dame , un profond regret. Des larmes coulaient presque sur ses joues. On voyait qu'elle aimait les tissus des costumes, car tous étaient bichonnés et conservés avec amour dans sa boutique. La vieille femme devait être très heureuse du temps où le théâtre fonctionnait. En plus, ce devait être un lieu très vivant avec toujours un comédien de passage, ou un metteur en scène qui venait pour le travail ou même tout simplement pour dire bonjour.