
Mais ils ne repartirent pas les mains vides. Le vieil homme leur avait offert son syrinx tellement ils avaient été subjugués par l’instrument. Peut-être allaient-ils en faire un numéro dans leur cirque?
... Mais ils avaient encore beaucoup de progrès à faire!
Après des heures perdues dans la cordillière de Andes à skis,la neige commençait à fondre.Barnabé se prenait pour un champion de ski et faisait le malin. Mais comme il ne savait pas bien skier, il n’arrêtait pas de tomber et de faire des galipettes dans la neige. Cela faisait beaucoup rire Floé, mais lui beaucoup moins car il ressemblait à un bonhomme de neige! Plus ils descendaient, plus la neige disparaissait.
Lorsqu’il n’y avait pratiquement plus de neige, ils décidèrent de continuer à pieds et donnèrent leurs skis à deux enfants qu’ils croisèrent sur leur chemin. Ils n’avaient jamais fait de ski et étaient heureux comme des rois!
Enfin après une longue marche, ils regagnèrent le lac et la ville la plus proche. La gare était tout près. Ils demandèrent si des trains partaient pour la Colombie.
- Il n’y a qu’un train qui part pour Cartagena dans deux jours, répondit le chef de gare. Vous voulez deux billets?
Tout était fichu, ils allaient rater le rendez-vous avec le maire qui ne voudrait plus les aider. Floé se mit à pleurer. Elle vit tout son projet s’écrouler. Tous ses voyages n’auront servi à rien et elle n’allait pas pouvoir offrir un cirque aux enfants colombiens. Quelle catastrophe!
- Qu’est-ce qu’on fait? demanda Barnabé inquiet.
- Cartagena est à deux mille kilomètres de Bogota! répondit Floé.
- Au moins, on aura regagné la Colombie. Et de Cartagena on reprendra un train ou un avion pour Bogota,répondit Barnabé.
- J’ai une idée! ajouta-t-il. Et si on envoyait un télégramma au maire pour le prévenir de notre retenue ici. Il ne nous en voudrait pas car il verrait que ce n’est pas notre faute si on manque le rendez-vous.
- Tu as raison! J’espère qu’il l’aura à temps sinon il va tout annuler! répondit Floé en séchant ses larmes car elle venait de retrouver de l’espoir.
... Mais ils avaient encore beaucoup de progrès à faire!
Après des heures perdues dans la cordillière de Andes à skis,la neige commençait à fondre.Barnabé se prenait pour un champion de ski et faisait le malin. Mais comme il ne savait pas bien skier, il n’arrêtait pas de tomber et de faire des galipettes dans la neige. Cela faisait beaucoup rire Floé, mais lui beaucoup moins car il ressemblait à un bonhomme de neige! Plus ils descendaient, plus la neige disparaissait.
Lorsqu’il n’y avait pratiquement plus de neige, ils décidèrent de continuer à pieds et donnèrent leurs skis à deux enfants qu’ils croisèrent sur leur chemin. Ils n’avaient jamais fait de ski et étaient heureux comme des rois!
Enfin après une longue marche, ils regagnèrent le lac et la ville la plus proche. La gare était tout près. Ils demandèrent si des trains partaient pour la Colombie.
- Il n’y a qu’un train qui part pour Cartagena dans deux jours, répondit le chef de gare. Vous voulez deux billets?
Tout était fichu, ils allaient rater le rendez-vous avec le maire qui ne voudrait plus les aider. Floé se mit à pleurer. Elle vit tout son projet s’écrouler. Tous ses voyages n’auront servi à rien et elle n’allait pas pouvoir offrir un cirque aux enfants colombiens. Quelle catastrophe!
- Qu’est-ce qu’on fait? demanda Barnabé inquiet.
- Cartagena est à deux mille kilomètres de Bogota! répondit Floé.
- Au moins, on aura regagné la Colombie. Et de Cartagena on reprendra un train ou un avion pour Bogota,répondit Barnabé.
- J’ai une idée! ajouta-t-il. Et si on envoyait un télégramma au maire pour le prévenir de notre retenue ici. Il ne nous en voudrait pas car il verrait que ce n’est pas notre faute si on manque le rendez-vous.
- Tu as raison! J’espère qu’il l’aura à temps sinon il va tout annuler! répondit Floé en séchant ses larmes car elle venait de retrouver de l’espoir.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire